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Initiatives

TADA!

Table sur l’avenir des arts

Présentation des résultats de TADA!

Retrouver le document de présentation des résultats sur ce LIEN
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Qu’est-ce que le projet TADA!

TADA! c’est un espace de réflexion et de conversation partout au Canada francophone, pour parler du futur des arts et la culture, de leur rôle et leur place dans la société. Nouvelles pratiques artistiques, accélération numérique, engagement du public, développement culturel durable…  TADA! sert d’incubateur de nouvelles idées pour le secteur, afin de participer à la construction d’un écosystème artistique et culturel francophone pancanadien qui soit durable, inclusif, collaboratif et innovant.

Qui participe?

Les activités de TADA! prennent la forme de quatre ateliers de codesign, ouverts sur invitation aux artistes et professionnel.le.s de la culture francophone dans tout le Canada.

Ces ateliers permettent aux participants d’exprimer et de débattre de leurs visions, leurs espoirs et leurs craintes sur l’avenir du secteur, et de faire émerger des solutions en commun pour rendre ce futur plus désirable.

En plus des ateliers, la plateforme numérique de TADA! permet à chacune et chacun de partager ses idées et propositions. Pour partager vos idées, rendez-vous sur les tableaux interactifs de chaque atelier.

De quoi va-t-on parler?

Chaque atelier est consacré à un thème :

Une initiative de la Fédération culturelle canadienne-française et du Conseil Québécois du Théâtre

Réalisé grâce à l’appui financier reçu du gouvernement du Québec, en vertu des programmes de soutien financier en matière de francophonie canadienne.

Accompagnés par

ATELIERS

Les ateliers

Chaque atelier inclut les éléments suivants :  un thème, un énoncé, un résumé de l’activité une fois l’atelier terminé, une vidéo présentant une initiative inspirante, un tableau Miro qui permet de partager ses idées en tout temps et un récit graphique (en ligne lorsque l’atelier est terminé).

L’accès et la participation à la culture

Le numérique permet aujourd’hui aux spectateurs, lecteurs, auditeurs ou cinéphiles d’accéder à des œuvres de tous horizons, au moment et à l’endroit de leur choix. Pour autant, l’accès à la culture, numérique ou physique, reste soumis à des inégalités sociales, économiques et géographiques.

Dans un contexte à la fois de proximité et de mondialisation, où la frontière entre local et global s’estompe, les nouvelles formes d’interaction entre le public et la culture invitent à repenser la relation entre artistes et citoyens. Cette situation suppose de nouvelles approches quant à l’accessibilité, à la diffusion, à la distribution et à la découvrabilité des oeuvres, ainsi qu’aux attentes des publics et à la juste rémunération de l’artiste.

Résumé de l’activité

Vous avez été plus de 30 à participer à notre deuxième atelier consacré à l’accès et la participation à la culture. Les échanges ont été précédés de la présentation des activités de MASC et de l’impact de l’adoption massive des outils numériques depuis un an sur celles-ci.

Il a bien entendu été de nouveau beaucoup question du numérique et du rapport ambivalent des arts et de la culture avec cette nouvelle réalité. Certes, vous avez été nombreux à constater que le numérique permet d’abolir beaucoup de frontières, géographiques mais aussi sociales (âge, mobilité, revenus…).  Le numérique permet de rassembler et d’atteindre des communautés qui ne pouvaient jusqu’alors se rencontrer. Mais cette relation virtuelle avec le public est-elle pour autant satisfaisante, est-elle adaptée à toutes les formes d’art, à tous les dispositifs? Comment aussi faire vivre la médiation, indispensable à vos yeux, dans ce nouveau contexte? Comment, enfin, faire exister les propositions novatrices, portées par la relève, au sein d’une offre qui apparaît sans règles et sans limites, jusqu’au vertige?

Pour vous l’avenir sera bien sûr numérique, mais pas seulement. Ce modèle hybride pour la diffusion des arts, vous le ressentez, aura une influence sur le processus créatif. Surtout, il nécessitera des investissements importants des bailleurs de fonds, des compétences et des talents nouveaux pour accompagner le secteur.

Alors que les artistes, les salles, les spectacles, sont à l’arrêt depuis un an, votre envie de voyager à nouveau était palpable. Si le numérique a créé des ponts, c’est physiquement que vous voulez les emprunter. Et c’est pourquoi vous souhaitez voir un soutien renforcé à la mobilité des artistes ou encore un rôle accru d’institutions comme le CNA pour la circulation des artistes francophones au pays.

Vous nous avez aussi beaucoup parlé de comment la pandémie vous a conduit à repenser la place des artistes et des arts dans la cité. Des nouveaux partenariats ont été rendus possibles, des portes se sont ouvertes, qu’il faudra surtout ne pas se laisser refermer dans « l’après ». La réactivité, la souplesse, l’audace, la solidarité qui transcendent le secteur depuis plus d’un an vous ont donné de l’espoir : celui d’une culture pour tous, d’une culture partout.

Pour cela, vous pensez qu’il faut encore plus miser sur l’éducation artistique pour engager les plus jeunes, trouver des nouveaux relais pour rejoindre les « laissés pour compte de la culture », et plus largement, militer pour que soit reconnue l’influence positive des arts sur tous les pans de la société et leur contribution au bien-être collectif.

Initiative inspirante

Tableau interactif

Vous pouvez partager vos idées et propositions sur le tableau interactif ci-dessous, en suivant le tutoriel disponible.

Récit graphique

L’illustratrice Chloé Germain-Thérien, alias Chloloula, a croqué certains des moments forts de l’atelier. Pour mieux connaître le travail de Chloé, rendez-vous sur son site.

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INSPIRATION

sources d’inspiration

  • Un rapport de l’Association acadienne des artistes professionnel.le.s du Nouveau Brunswick intitulé «MAINTENANT AGISSONS pour la survie du milieu des arts et de la culture».
  • Les TRIR, une initiative pancanadienne du Conseil des ressources humaines du secteur culturel.
  • L’appel des indépendants en France, qui a débouché sur les États généraux des structures culturelles et des médias indépendants et un manifeste de 140 propositions.
  • Une série de discussions sur le futur de la culture organisée au Royaume-Uni (en anglais).
  • Des propositions faites par un «groupe des 52» en Belgique sur «Un futur pour la culture».
  • Une initiative européenne pour une transition vers un écosystème culturel alternatif, plus juste et unifié, nommée Reshape (en anglais).
  • Une conférence de CAPACOA sur la diffusion du spectacle en ligne (la première partie est visible ici, la deuxième partie aura lieu ici).
  • Un webinaire de Place des Arts sur les arts de la scène et la COVID: quels futurs?
  • Un article du Devoir qui prend le pouls des réflexions du secteur culturel sur son avenir.
  • Comment le public québécois est séduit par la culture en ligne.
  • Une étude française plutôt optimiste sur comment la pandémie a malgré tout permis une démocratisation des pratiques culturelles et une intensification des pratiques en amateur (étude complète ici).
  • Un retour sur les initiatives de la Comédie française durant la pandémie.
  • Une série de réflexions prospectives sur le futur de l’entertainment.
  • Les statistiques sur les impacts de la COVID-19 de CAPACOA.
  • Le rapport de l’UNESCO, La culture en crise: guide de politiques pour un secteur créatif résilient, qui parcourt les initiatives mises en place dans le monde pour la relance du secteur.
  • Une étude française sur les relations entre le numérique et le spectacle vivant.
COMITÉ

Comité TADA!

Le comité est composé de 9 membres, issus de différentes disciplines et communautés francophones partout au Canada. Il sera chargé de formuler des propositions et des recommandations sur la base des idées qui émergeront au cours des ateliers.

Alain Grégoire

Colombie-Britannique

Odile Joannette

Québec

Martin Lessard

Québec

Sébastien Lord-Émard

Nouveau-Brunswick

Nicole Matiation

Manitoba

Monia Mazigh

Ontario

Sylvie Meste

Québec

Louise Sicuro

Québec

Josée Thibeault

Alberta

En tant qu’organismes co-organisateurs, la FCCF et le CQT participent également au comité :

Marie-Christine Morin

Ontario

Catherine Voyer-Léger

Québec

Alain Grégoire

Interprète de formation, Alain a occupé plusieurs postes de direction en théâtre et à ce titre, il a été responsable de 25 programmations, notamment au Théâtre français du Centre national des Arts (CNA). En plus d’avoir interprété différents rôles et mis en scène des dizaines de spectacles, Alain Grégoire a enseigné dans des écoles de théâtre professionnel. Il a aussi agi à titre d’expert en matière de politique théâtrale auprès d’instances publiques (MAC, CALQ, CAM, CAM, CITF) et du milieu, et a siégé aux conseils d’administration de plusieurs organismes (CEAD, CQT, TUEJ, ADST, La Vitrine culturelle, PQDS). Coauteur de deux études (Redressement du Théâtre du Trident (Québec) et Avenir des Zones théâtrales (Ottawa)), Alain a participé aussi à la rédaction du manifeste «Vers une politique du théâtre professionnel pour les jeunes publics». Après avoir instauré et piloté un changement stratégique à la direction de la Maison québécoise du théâtre pour l’enfance et la jeunesse (la Maison Théâtre à Montréal, qu’il a dirigée pendant 16 ans), Alain Grégoire est présentement directeur artistique et général intérimaire du Théâtre la Seizième, à Vancouver.

Odile Joannette, Directrice générale du Wapikoni mobile

Militante autochtone, membre de la communauté Innue de Pessamit. Directrice générale du Wapikoni mobile

Odile œuvre à la défense et à la promotion des droits des Peuples Autochtones et s’efforce de briser les barrières d’accessibilité. Passionnée, résiliente et dévouée, elle travaille à construire des ponts entre les peuples, les Nations et les générations. 

Diplômée de l’UQAM en communication, spécialisée en relations publiques, Odile s’est impliquée auprès du mouvement des Femmes autochtones du Québec en 2002.

Elle a ensuite cofondé le premier CPE autochtone de Montréal ainsi que le RÉSEAU de la communauté autochtone de Montréal. Elle est également membre fondatrice de DestiNATIONS, un projet d’infrastructure de grande envergure pour la ville de Montréal. 

Pendant dix ans, Odile a œuvré au développement des ressources humaines au sein de l’Assemblée des Premières Nations Qc-Labrador. 

Odile fait également partie de plusieurs comités consultatifs, notamment le groupe de travail autochtone de Téléfilm Canada, le conseil des gouverneurs de l’université Concordia et la table du RICAA (Réseau international de création audiovisuelle autochtone).

Selon ses propres mots, “je suis profondément convaincue que l’expression artistique est un outil puissant de guérison et de renforcement identitaire. Je suis une fervente défenseure de la souveraineté narrative et convaincue que les publics doivent avoir accès aux œuvres des artistes autochtones. Fière d’être maintenant à la direction générale du Wapikoni … J’y soufflerai bientôt mes 3 chandelles !”

Martin Lessard

Martin Lessard est directeur général du MT Lab, le nouvel incubateur d’innovations en tourisme, culture et divertissement . Spécialiste en innovations numériques depuis une vingtaine d’années, il a été nommé en 2010 l’un des 8 influenceurs du Montréal 2.0. Il a été directeur groupe en publicité interactive chez Cossette de 2000 à 2004 et à son compte dès 2007 comme conseiller en médias sociaux. Il a aussi été chroniqueur techno à l’émission La Sphère à la Première chaine de Radio-Canada de 2011 à 2018.

Sébastien Lord-Émard

Sébastien Lord-Émard est un auteur queer et un militant francophone. Passionné par les arts, passionnément acadien, il publie de la poésie, des essais et des nouvelles. Éditeur pendant sept belles années à l’enseigne du Bouton d’or Acadie (Moncton), il travaille désormais comme chargé de projets à la Société de l’Acadie du Nouveau-Brunswick et comme rédacteur-réviseur-éditeur indépendant, en plus de son engagement bénévole dans diverses causes sociales.

Nicole Matiation, directrice générale, On Screen Manitoba

Nicole a une maitrise en arts médiatiques de l’université Concordia et travaille dans le secteur culturel depuis plus de 25 ans. Elle  a occupé des postes de gestion avec une forte emphase sur les communications, la programmation, les relations gouvernementales et l’engagement du public. Depuis 2011, en tant que directrice générale de de l’association provinciale de l’industrie de la production audiovisuelle, On Screen Manitoba, Nicole collabore avec les intervenants clés au plan local et national afin de développer des services et des programmes qui augmentent la capacité de la production audiovisuelle au Manitoba. 

Sous sa direction, On Screen Manitoba s’est transformé en une plaque tournante de la production intégrant aussi bien les secteurs du cinéma, de la télévision et des nouveaux médias que les communautés anglophones et francophones, y compris, pour certains programmes, la communauté de la production francophone de tout l’Ouest canadien. Nicole programme depuis 10 ans, le forum des médias All Access, devenu un rendez-vous annuel incontournable de l’industrie pour les professionnels anglophones et francophones de tout le Canada.

Bénévole active, Nicole siège à divers comités et jurys au Manitoba et au niveau national, Elle est membre fondatrice et co-présidente du conseil d’administration des Manitobains pour les arts, membre du conseil d’administration du Centre culturel Franco-manitobain, co-présidente du conseil d’administration de la fête de la culture et de Nuit Blanche Winnipeg, et co-fondatrice et présidente du conseil d’administration de Freeze Frame, centre d’arts médiatiques pour jeunes.

Monia Mazigh

Monia Mazigh est une auteure et universitaire canadienne d’origine tunisienne. Elle est connue pour son récit autobiographique intitulé Les larmes emprisonnées publié chez Boréal. Il a été sélectionné pour le prix du livre de la ville d’Ottawa.

En 2011, son roman Miroirs et mirages a été finaliste au prix Trillium de l’Ontario et au prix du livre de la ville d’Ottawa.

Son deuxième roman sur le printemps arabe, Du pain et du jasmin, publié chez les éditions David en 2015, a été finaliste au prix Champlain. 

Son troisième roman, Farida, a été publié chez les éditions David en janvier 2020. Monia Mazigh est chroniqueuse pour l’émission Les Matins d’ici de radio-canada, Ottawa-Gatineau.

Sylvie Meste

Le fil linéaire du parcours professionnel de Sylvie Meste est un engagement voué à soutenir, de sa position, l’épanouissement socioculturel de communautés humaines.

Dans un premier temps, elle s’implique durant sept ans comme responsable des communications au service d’Urbanis, bureau national d’ingénieurs-conseils œuvrant pour l’amélioration du cadre de vie auprès des collectivités locales, territoriales et ministères en France. Les champs d’intervention se situent dans l’aménagement du territoire, le renforcement du tissu social urbain, l’élaboration de plans d’urbanisme, les politiques de préservation du patrimoine bâti ancien et l’écologie environnementale. 

Par la suite, elle rejoint le secteur des arts et de la culture comme directrice de production et de l’administration de la compagnie de théâtre française Sous le regard d’Ulysse. Après son arrivée au Québec en 2002, elle collabore jusqu’en 2020 au sein du Conseil québécois du théâtre en remplissant divers mandats, dont celui de la direction générale durant les cinq dernières années. Ses missions phares se sont jouées, entre autres, sur le terrain politique afin d’œuvrer à l’amélioration des conditions professionnelles des artistes, des artisanes et artisans de théâtre, au soutien de la pleine expression de leurs œuvres, ainsi que d’exposer les demandes du milieu théâtral aux instances gouvernementales. Elle développe sa pensée analytique et stratégique au travers d’actions porteuses comme les consultations menées pour la nouvelle Politique culturelle du Québec, l’élaboration du Plan directeur du théâtre professionnel au Québec, la concertation multisectorielle et les revendications politiques pour un financement public accru des arts et de la culture.

Sylvie Meste s’investit aujourd’hui comme stratège indépendante afin de contribuer à l’émergence de nouveaux écosystèmes solidaires et inclusifs quant à l’avenir des arts et des droits culturels. 

Louise Sicuro

Louise Sicuro se consacre à l’avancement des arts et de la culture depuis près de 40 ans. Elle a fondé et dirige depuis 24 ans Culture pour tous, un organisme à but non lucratif dont la mission est de contribuer à faire reconnaître les arts et la culture comme facteurs essentiels d’épanouissement par des programmes de sensibilisation et d’éducation favorisant la participation citoyenne.

Elle est profondément engagée à promouvoir l’importance d’un accès généralisé des citoyens aux arts et à la culture. L’une de ses plus importantes initiatives est la création des Journées de la culture qui ont lieu chaque année au Québec depuis 1997, manifestation qui a inspiré l’événement pancanadien Culture Days/ Fête de la culture.

Bénévole très active, Louise Sicuro est membre des conseils d’administration de la Fondation de la Place des Arts, et du Centre national des arts. En 2002, elle cofondait Culture Montréal, dont elle a été élue administratrice pendant 10 ans. Elle a également été vice-présidente de l’Université du Québec à Montréal de 2012 à 2015, membre du conseil de la Société de la Place des arts de 2002 à 2016 et du Fonds de recherche du Québec / Société et Culture de 2013 à 2020. Elle a cofondé en 2006 le Groupe de recherche en médiation culturelle devenu en 2018 l’Observatoire des médiations culturelles (OMEC) dont elle est fait partie.

Elle détient un diplôme d’études supérieures spécialisées (DESS) en gestion des organismes culturels de l’École des Hautes études commerciales (HEC) de Montréal et a obtenu le titre d’administratrice de sociétés certifiée (ASC) décerné par le Collège des administrateurs de l’Université Laval.

Pour son engagement envers la cause de la démocratisation de la culture, Louise Sicuro a reçu, en 2011, l’insigne de membre de l’Ordre du Canada et, en mai 2019, le grade de Chevalière de l’Ordre national du Québec.

Josée Thibeault

Josée est autrice, metteuse en scène et comédienne. Installée à Edmonton depuis plus de 25 ans, elle écrit pour le théâtre, le cinéma, la télé, la radio et les balados. Depuis quelques années, elle développe de nouvelles voix narratives avec ses nombreux alter ego grâce auxquels elle livre sur scène de la poésie spoken word et des monologues. Josée a présenté son dernier spectacle solo, La fille du facteur, à l’UniThéâtre d’Edmonton, aux Zones théâtrales à Ottawa et en tournée à travers l’Alberta. Son dernier projet, Le bocal, est une exploration hypermédiatique où s’entrelacent un podcast, un feuilleton écrit et du contenu visuel et interactif sur les réseaux sociaux.

Marie-Christine Morin

Christine Morin s’est jointe à l’équipe de la Fédération culturelle canadienne-française en janvier 2017 et occupe le poste de directrice générale de la FCCF depuis avril 2018. 

Auparavant, elle a occupé plusieurs postes de gestionnaire de politiques et de programmes au sein de différents ministères fédéraux. Elle a piloté plusieurs initiatives d’envergure dont la création de la Subvention épargne-études Avantage Saskatchewan, des projets exploratoires en innovation sociale à Immigration, Refugiés et Citoyenneté Canada et a mené à bien le dossier de l’infrastructure sociale au sein du ministère Emploi et développement social Canada. Marie-Christine Morin possède un baccalauréat en journalisme de l’Université du Québec à Montréal et une maîtrise en administration des affaires de l’Université d’Ottawa.

Catherine Voyer-Léger

Après des études supérieures en science politique à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et en littérature à l’Université d’Ottawa, Catherine Voyer-Léger fait carrière dans le milieu culturel. Elle a collaboré avec plusieurs organismes du milieu artistique et littéraire au Québec et ailleurs dans la francophonie canadienne et est aujourd’hui directrice générale du Conseil québécois du théâtre. Écrivaine, elle a publié sept livres dont deux éditions de Métier critique (Septentrion), un essai sur l’état de la critique culturelle et Prendre corps, un recueil de microrécits (La Peuplade). En 2021, parait le collectif En cas d’incendie, prière de ne pas sauver ce livre (Prise de parole) qu’elle a dirigé. Elle collabore aussi à plusieurs projets collectifs. Son livre Prendre corps s’est mérité le Prix littéraire Jacques-Poirier – Outaouais 2019.